Elle ma tenté avec du vin, du gâteau et des raisins. Je l’ai trouvée dans la demi-sphère de frondes et de verre qui faisait sa chambre-soleil, son monde cristal surplombant la ravine.
Que ses regards gamines m’inquiétaient – que sa manière soucieuse se méfiait! Entre les miettes et la crème et plusieures petites gorgées, je m’abandonnait en sondant qu’est-ce qu’elle voulait.
Les oiseaux autour du serre ont pris à l’aile en tonnerre.
Je disais, « Le monde, il vit encore, et ici t’es entourée par des éclats, du pluie, des feuillets, jusqu’au fin des journées. »
Niant, ses yeux scintillaient. Toutefois, sa bouche cédait, « C’est vrai – j’ai chaque saison, et en même, ce qui me plaît. Peut-être la bijouterie des fleurs entourée par la neige.
« Néanmoins, où sont les délires de tous nos siècles de verdeur? Donne-moi l’homme qui erre, qui suit la mythomanie. Ce que, si on avait des enfants, les petits ne croiraient jamais.
« Oui, je veux la crédulité, entourée des bêtes et des fées. Donne-moi les phénomènes encore inexpliqués. Donne-moi l’univers sans carte, et donc, sans fin.
« Je veux un magicien – mais non, je veux l’être moi-même! Humour mes caprices, Théo, et donne-moi ce morceau, Théo, peur que tu deviens anathème! »
Puisqu’elle a empiffré le dernier des pâtisseries, mon seul recours était le vin. Elle riait dans le silence du verre et du ciel, de l’herbe et du terre, du crépuscule humaine.
Enfin, « C’est tout? » j’exigeais. Et elle hochait la tête.
Je suis parti à moitié-plein, malgré les désirs élaborés. À ce moment-là , je pensais seulement –
« Il aurait été plus facile au printemps. »
~
Elizabeth Cook, 2016
Image de Voisin Parcs et Jardins